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Le 21 mars 2018 : mon premier poireau germé en bocal à partir du pied. Je l'ai mis en terre le 07 avril 2018 car des algues avaient commencé à se former sur la partie blanche. J'avais mis son pied blanc dans un bocal sans trop y croire, en l'oubliant derrière ma fenêtre. Lorsque je me suis aperçue qu'il avait germé, il était déjà "grand" ! Son nom ? Poireau numéro 1, Zenon Slaweski. Parce que son nom n'a pas été respecté par l'association pour laquelle je travaille et que ça me rend dingue. Je ne t'oublie pas Zenon !
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Mon premier poireau à droite, le deuxième au milieu et le troisième à gauche. Le lundi 2 avril 2018 . |
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Les mêmes de plus près, le lundi 2 avril 2018. |
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Dimanche 8 avril. Un quatrième en premier, le deuxième a bien poussé (+ 6 jours) et le troisième aussi ! | | | |
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Si ce n'est pas une œuvre d'art, je me demande ce que c'est tellement je le trouve beau, ce poireau ! Jeudi 12 avril 2018 : mise en terre du deuxième car il commençait à plier sa tige dangereusement. Son nom ? Poireau numéro 2, Jacques Roubaud (la date de sa mise en terre correspond au jour où j'ai rencontré ce poète du XXème siècle dans une librairie du XIXème arrondissement au 94 avenue Jean Jaurès). |
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Projet 2018-2019 : faire germer tous les poireaux que je mange et les offrir autour de moi. Pour les transporter, rien de plus simple : je les mettrai dans une bouteille d'eau plastique usagée contenant de l'eau. Inconvénient : la consommation d'eau. Afin d'économiser ce liquide précieux, j'utiliserai l'eau du robinet pour les plus beaux poireaux de départ (à grosses racines) et de l'eau usagée à destination des poireaux pas beaux (la vie est dégueulasse).
N.B. J'ai oublié de dire que j'avais laissé germer un poireau directement en pleine terre sur mon balcon : il pousse plus lentement mais sûrement. Je l'appellerai le poireau zéro car je ne sais plus quand je me suis aperçue de sa présence. Son nom ? W.H. Sebald, parce que c'est un auteur que je n'ai lu qu'en 2017 (grâce à Mme Roger qui m'a offert les Émigrants (1999) en juin 2017 et M. Toledo Camille à la Maison de la Poésie, en 2017 aussi).
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